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Unequinzaine de chrĂ©tiens engagĂ©s Ă gauche lancent un collectif politique « de rĂ©flexion et d’action » baptisĂ© Anastasis. OpposĂ©s à la fois à une interprétation
Laconsommation en question : Le collectif de l'éthique sur l'étiquette cible le jouet" Exploiter n'est pas jouer. " C'est ainsi que le
1- Ethique dans l'entreprise, éthique de l'entreprise. Tout manager est désormais concerné, même s'il n'a aucun talent de frère prêcheur ou, inversement, s'il ne peut se targuer d'être un financier cupide, narco-trafiquant mafieux, "voyou des mers" ou dirigeant d'entreprise publique pris la
ÉTHIQUESUR L’ÉTIQUETTE ! octobre 6, 2016. Manger bio, c’est bien. Mais saviez-vous que 24% de la consommation mondiale d’insecticides est utilisée pour la culture du coton non bio et que l’industrie du textile est le deuxième secteur le plus polluant après l’industrie du pétrole ? Vous l’aurez deviné, une fois n’est pas
éthique Collectif « Notre Bon Droit » – Belgique. COVID-19 › Origine › Epidémiologie › Immunité › Recherche › Faits et chiffres; VACCINS › Technologies vaccinales › Effets indésirables › Boosters (3e, 4e dose) SOINS › Traitements › Prévention et santé › Liberté de prescrire › Médecine; POLITIQUE SANITAIRE › Pass sanitaire / vaccinal › Obligation
Site De Rencontre En Afrique Gratuit. Le Rana Plaza place des Opportunes En savoir plus sur Le Rana Plaza place des Opportunes 7 avril 2014, Place Sainte-Opportune à Paris, entre la place du Châtelet et le Forum des Halles, un défilé de mode d'un genre un peu particulier. Ce sont les associations De l'éthique sur l'étiquette et CCFD Terre solidaire qui organisent une parodie de présentation de vêtements féminins de luxe. Très seyant, les tâches rouges qui rappellent les corps écrasés dans l'immeuble Rana Plaza, le tissu froissé comme les membres des survivants... Dacca la responsabilité du donneur d'ordre En savoir plus sur Dacca la responsabilité du donneur d'ordre Nous relayons bien volontiers le communiqué de presse de Peuples solidaires et du collectif De l'ethique sur l'étiquette, à la suite de l'affondrement de l'immeuble dans lequel étaient concentrés de nombreux ateliers de confection textile au Bangladesh. EFFONDREMENT DU RANA PLAZA AU BANGLADESH Alors que le bilan continue de s'alourdir, Peuples Solidaires et le Collectif Ethique sur l'étiquette lancent une pétition pour appeler les marques à prendre enfin les mesures qui s'imposent. Edito une société de consommation responsable? En savoir plus sur Edito une société de consommation responsable? Con-sot-mateur les murs d'un certain mois de mai définissaient le consommateur comme doublement bête et voyeur. Une génération plus tard, le vocabulaire a évolué, le thème de la consommation responsable prolonge le refus du "consomme et tais-toi". Les campagnes comme De l'éthique sur l'étiquette et le développement du commerce équitable cherchent à faire du consommateur un acteur du développement durable, comme la RSE le fait du producteur, l'ISR de l'épargnant et l'Agenda 21 du citoyen.
Changer nos modes de vie et de consommation dans le sens de la transition, c’est aussi nous préoccuper des conditions de fabrication des vêtements, chaussures, etc. que nous portons. Depuis 20 ans, le collectif Éthique sur l’Étiquette » met en lumière les conditions de fabrication dans la filière textile pour faire avancer […]
Le collectif, au niveau national, rassemble de nombreuses organisations telles que Oxfam, Artisans du monde, Action Aid, ainsi que la CFDT. La structure est également présente à l’échelle locale où elle regroupe les mêmes acteurs ainsi que Colecosol ; un collectif promouvant le commerce équitable. Les nombreuses actions menées ont permis l’adoption de la loi relative au devoir de vigilance des entreprises en 2017. L’objectif est affirmé interpeller les dirigeants pour faire bouger les lignes et agir concrètement afin que les droits humains soient respectés, qui plus est dans un contexte où la pandémie de Covid-19 fait des ravages. Crise du Covid 19 et catalyseur des écarts sociaux En effet, la situation s’avère dramatique pour de nombreuxses travailleurses puisque ces derniers ont subi une perte d’activité conséquente, et ce dès le printemps 2020. Effet secondaire de la crise ; 10% d’ouvrierres se sont retrouvés sans emploi, sans indemnités, et sans protection sociale. Il est assez aisé d’en déduire que la précarité accrue a débouché sur des situations dramatiques du point de vue économique et sanitaire. Effectivement, les travailleurses se sont retrouvés face à un choix cornélien travailler et risquer de contracter le Covid 19 ou rester confinés et perdre une source de revenus. Cette situation est d’autant plus ubuesque que l’on a pu observer les profits records d’enseignes telles que Nike +11% reversés en dividendes et Amazon 200% de ses bénéfices soit 21,3 milliards de dollars. Ces écarts considérables posent à nouveau la question de la redistribution des richesses. Comment agir concrètement pour obtenir plus de justice sociale? Pay your workers Dès novembre 2020, les 40 pays membres d’une organisation de défense des droits humains se sont rassemblés pour créer la coalition Pay your Workers et lancer la campagne de mobilisation du même nom. L’objectif est simple tirer la sonnette d’alarme sur les conditions de travail afin que les droits des travailleurses soient davantage respectés. À ce jour, il est encore possible de signer la pétition en ligne. Localement, le collectif s’est mobilisé en allant à la rencontre du consommateur afin d’informer et sensibiliser sur la problématique du textile éthique. Le constat est simple, derrière chaque vêtement se cache un travailleur précaire. Les alternatives Par ailleurs, la mobilisation a également permit de mettre en lumière les alternatives existantes. En effet, des enseignes engagées dans la transition écologique telles qu’Artisan du monde ou Vethétic proposent un ensemble de produits produits compatibles avec le respect des droits humains et de la planète. Nos choix en terme de consommation consommer moins et mieux ont autant d’impact qu’un bulletin de vote, œuvrons pour plus d’éthique derrière l’étiquette. Pour aller plus loin Législation Loi n° 2017-399 relative au devoir de vigilance des sociétés mères et des entreprises donneuses Les acteurs ouvre un nouvel onglet
Manger bio, c’est bien. Mais saviez-vous que 24% de la consommation mondiale d’insecticides est utilisée pour la culture du coton non bio et que l’industrie du textile est le deuxième secteur le plus polluant après l’industrie du pétrole ? Vous l’aurez deviné, une fois n’est pas coutume, je m’apprête à parler chiffons, parce que lire les étiquettes est devenue une urgence sanitaire ! Aussi, laissez-moi vous proposer une petite expérience de quelques minutes à la manière de Benjamin Carle et de son documentaire Made in France. Rendez-vous expressément devant les armoires de vos enfants ou, à défaut, devant la vôtre afin de vous renseigner sur l’origine de la fabrication de ce qui constitue leur garde-robe ». Made in China, made in Bengladesh, made in Malaysia, Made in Pakistan, made in Vietnam, made in Cambodgia… le constat est accablant, mais rassurez-vous, rien n’est irréversible, il est des marques éco-friendly, respectueuses de l’environnement… Reste à chacun de nous de devenir consom’acteur, afin de renverser la vapeur ! Le prix fort de la junk fashion Les ONG le dénoncent régulièrement les mastodontes du textile H&M, Zara, Gap, Monoprix… pour n’en citer que quelques-uns, sous-traitent à tour de bras, collections capsules et petites séries obligent ! Seulement, ces pratiques les privent de tout contrôle sérieux et d’outils de traçabilité ! Saviez-vous, par exemple, qu’en Chine, des enfants coupent les fils dépassant des jeans pour 1,5 centime d’euro par pantalon ? Que parmi les 60 millions de travailleurs de l’industrie textile dans le monde, 68% sont des femmes jeunes, peu qualifiées et des enfants ! Que ces ouvrières travaillent en moyenne 12 heures par jour, six jours sur sept dans des conditions souvent déplorables interdiction de s’absenter plus de 5 minutes, d’aller au toilettes, ni même de parler, locaux insalubres…. Que les teintures et oui ce pantalon bleu pétrole a eu droit à quelques bons bains de trempage ! sont réalisées à partir de produits interdits en Europe par la norme REACH, car elles sont toxiques pour l’environnement et la santé de celles et ceux qui les manipulent et les consommateurs qui les portent ! Enfin, que pour un tee-shirt d’une valeur de 29 euros, seuls 18 centimes sont liés à la confection ?! Et oui, la plupart des vêtements, que portent nos chérubins, sont consommés » à mille lieues de l’endroit où ils ont été fabriqués ! Et si leur prix est cassé, d’autres payent le prix fort de notre dérisoire valse des tendances ! En première ligne, cette main d’œuvre très peu chère, qui ne bénéficie pas de droit du travail et qui passe le plus clair de son temps dans ses usines mouroirs » ! En deuxième ligne, l’environnement à qui l’ont cause des dégâts irréparables à force de déversements de produits chimiques et enfin à notre progéniture, que nous affublons de ces habits non éthiques, soit dit en passant de très mauvaise qualité, ce qui nous conduit, à les renouveler encore plus fréquemment ! Less is more » Comment inverser la vapeur ? En réduisant, dans un premier temps, la penderie de nos petits au strict minimum ! Brocantes, vide-dressings, associations La Croix-Rouge, Emmaüs…, c’est le moment de faire le tri et d’offrir une seconde vie aux vêtements trop petits, ainsi qu’au surplus ! Souvenez-vous, il y a seulement quelques années, LA tenue d’écolier, LE pull chaud, LA veste en laine, LA paire de chaussures costauds… Sans en arriver là , nous devrions pouvoir trouver un compromis, vous ne pensez pas ? Si la plupart des vêtements éthiques sont chers, voire très chers, c’est le prix du respect de celles et ceux qui les confectionnent, des belles matières et de la durabilité les petits prix doivent, à l’inverse, nous alerter sur d’éventuelles mauvaises de conditions de fabrication !. Aussi, mieux vaut vêtir nos enfants de vêtements d’occasion déjà maintes et maintes fois portés et lavés et/ou économiser pour leur offrir quelques pièces neuves de belle facture selon ses possibilités, cela va de soi. S’il est peu de marques de vêtements pour les enfants qui s’engagent, il en est une que j’apprécie plus que toutes pour tous ses efforts La queue du chat. Peut-être connaissez-vous cette marque à la philosophie éco-friendly ? Ses créatrices, Hélène et Anne-Charlotte, qui ont respectivement travaillé dans l’humanitaire et dans la mode décident, en 2005, de s’associer pour créer des vêtements pour les enfants en respectant l’environnement et le bien-être des artisans et prouver ainsi qu’une autre mode est possible ! Elles cherchent tout d’abord une manufacture française, capable de confectionner les vêtements pour enfants qu’elles imaginent, mais voient les portes se fermer devant elles, en raison des quantités infimes qu’elles souhaitent produire. Voyageuses dans l’âme, elles partent en quête d’un atelier de confection travaillant exclusivement avec du coton biologique. Finalement, elles le trouvent dans un petit village situé sur la côte du Gujarat à 150 kilomètres de Bombay. L’ensemble de la chaîne répond aux exigences des droits fondamentaux des employés, en permettant notamment une juste rémunération, l’accès aux postes à responsabilité entre hommes et femmes, la couverture médicale pour les salariés et leur famille L’atelier est, de fait, certifié FLO Fairtrade Labelling Organizations pour le commerce équitable et SA8000 Social Accountability. Cultivé sans pesticide ni engrais chimique et récolté à la main, le coton biologique contribue au bien-être de ceux qui le cultivent. Sa production ne polluant ni l’eau, ni le sol, ni l’air et participant même à l’amélioration de la qualité des sols ! Anallergiques, souples, très épais et doux au toucher, les vêtements proposés par La Queue du chat sont de véritables petits cocons douillets et mignons ! La marque responsable imagine des pièces intemporelles afin de s’extraire, autant que faire se peu, de la saisonnalité qu’impose l’activité et ses fameuses collections printemps/été/automne/hiver. Il lui tient, en effet, à cœur de proposer sur son e-shop, des pièces plus anciennes à petits prix ! Hélène et Anne-Charlotte s’appliquent également à recycler 100% des chutes de tissu, via la création d’accessoires, d’empiècements… Au delà de son engagement équitable, le duo apporte aujourd’hui son soutien à des projets pour la communauté indienne, tel que le paiement du loyer de l’orphelinat de la ville qui jouxte le village dans lequel se situe l’atelier. La marque qui vient de fêter ses 11 ans d’existence, a vu nombre de ses consœurs disparaître, la concurrence étant ce qu’elle est, ce pourquoi, je souhaitais tirer mon chapeau à cette marque à nulle autre pareille et à saluer ses créatrices passionnées pour leur opiniâtreté ! Autre marque responsable que j’apprécie pour sa démarche éthique Coq en pâte ! Les tee-shirts en coton biologique, certifiés GOTS, de la marque bretonne, aux imprimés animaliers », font évidemment le bonheur de mon grand garçon de 6 ans ! Et cette autre jeune marque française, Risurisu, créée par la maman de 6 enfants experte en la matière »! et dont les pièces blouses, pantalons, robes…, certifiées GOTS, confectionnées en Espagne, affichent un côté résolument rétro ! Alors, oui, le prix vêtements peut paraître élever si l’on ne regarde que celui-ci. Seulement quand on sait l’envers du décor, ne vaut-il pas mieux revoir à la baisse ses achats pour encourager la fabrication d’habits plus sûrs et plus sains pour nos enfants et favoriser le développement d’un marché biologique, plus respectueux des cultivateurs comme de l’environnement ? Pour ma part, je privilégie les vêtements d’occasion, avec une prédilection pour les vêtements d’enfants des années 70, merveilleusement coupés et d’une incroyable qualité Etsy et de nombreux sites de seconde-main en proposent, néanmoins je ne suis pas contre une ou deux jolies tenues durables pour les jours de sortie ! Alors, si comme moi, vous vous souciez du sort de la planète et du bien-être de ses habitants, à commencer par ses enfants qu’ils naissent en Orient ou en Occident, je ne peux que vous encourager à vous interroger, avant de céder à toute impulsion d’achat, car derrière chaque vêtement confectionné se trouve un certain nombre d’humains du cultivateur de la matière première, aux petites mains qui se chargent de teinture ou des coutures…, des heures de travail et des ressources que nous nous devons de respecter afin de ne pas les épuise. Les vêtements portés par Merlin et Myrtille, pris en photos sont signés La queue du chat. Notez que le collectif ÉTHIQUE SUR L’ÉTIQUETTE, se bat pour mondialiser les droits humains au travail, textes de référence, rapport et vidéo à l’appui ! À voir également en replay Cash Investigation Toxiques Fringues, un documentaire riche d’enseignements ! Photos signées ©Olivier Cochard
Accueil > Mobilisez-vous > Comment agir ? > Chacun à son niveau Les campagnes passées ont prouvé que la mobilisation citoyenne permet d’obtenir des progrès significatifs en matière de respect des droits humains par des entreprises. Vous aussi, vous pouvez agir à votre niveau. S’informerLes marques et distributeurs manquent souvent de transparence sur l’origine et les conditions dans lesquelles ont été élaborés les produits qu’ils commercialisent. Mais les modes de consommation changent et les citoyens sont de plus en plus vigilants ... S’impliquerAu quotidien, agissez avec le Collectif Éthique sur l’étiquette et faites connaitre ses actions parlez-en autour de vous et participez aux campagnes en signant les pétitions, en relayant les appels urgents, en envoyant les courriers adressés aux ... Consommer autrementSoldes, offres spéciales, nouveaux modèles constants, campagnes publicitaires grandioses les multinationales de l’habillement déploient de nombreux moyens pour nous pousser à consommer toujours plus. La fast fashion a fait de la mode jetable le ...
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